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de caps en caps

Des couloirs stressés de pouvoirs éphémères connus autrefois aux rivages de fleuves et d’océans immémoriaux toujours présents, des trafics de mégalopoles irraisonnées d’un passé mis à distance aux chemins de montagnes fleuries ou enneigées d’aujourd’hui, qjp continue de naviguer.
Peu importe les caps donnés par les boussoles anciennes ou nouvelles de ses mutiples rêves.

Rester é(mer)veillé dans leur sillage suffit ….

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économiste

qjp a sévi dans les domaines de la Défense, de la Recherche, de l’Industrie, des Affaires Etrangères, de la Santé et des Affaires Sociales, des Médias et de l’Aménagement du Territoire.  Jeune, il a flirté avec le journalisme, la photographie et le cinéma. Il a publié un roman Vietnam, le monde se gouverne comme on cuit les petits poissons aux éditions Kailash, des essais comme Le net-travail chez Economica, Internet, les enfants et nous chez Bayard, des textes-poèmes abstraits Paul-Emile Quignaux, et a participé à des ouvrages collectifs comme Culture d’Univers chez  FYP, Dubaï Transmutations, Martin Becka Photographe chez Empty Quarter…  qjp s’est aussi occupé un temps de la vie d’un théâtre. 

Sustainability

marin

C’est  l’histoire de l’eau, de ses (res)sources, de ses courants, de sa force mêlée à celle du vent, un langage décrypté par les navigateurs auquel qjp s’est toujours senti appartenir. Mers et fleuves inspirent qjp depuis l’enfance et l’ont incliné à naviguer aussi bien sur ses voiliers que dans le tracé de crobarts et l’écriture de textes dérivant au gré de ce qu’il perçoit. En 2009, il publie un blog intitulé Paul-Emile Quignaux dans lequel il regroupe une soixantaine de courts textes abstraits accompagnés de petites illustrations divaguantes. Puis les années passent…Et après tout, étant fils de Iemanjá, déesse afro-brésilienne des mers et rivières, fertile, protectrice et guerrière, c'est naturellement que qjp s’est trouvé de nouveau porté vers la fabrication d’images. En 2016, il dévoile donc la série Shipyard, où proche de l’eau, son oeil a capté une nouvelle histoire.

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tialune

qjp et La Galerie/Librairie internationale de photographie La Chambre Claire (Paris) ont une relation telle, que l’espace a organisé plusieurs de ses vernissages. Les séries d’encrages pigmentaires Couleurs en cale en 2017, Vienes? en 2018, puis en 2019 la série Ce qui se trame…  y ont été exposées. Les trois nouvelles séries de qjp, Lubies bleues, Noirs solaires et Coloriages, présentées sur ce site, vont être exposées, en alternance avec celles d’artiste-invités, par Tialune-Galerie dans l’espace de rencontres, bientôt aménagé dans les Alpes de Hautes-Tarentaise, là où qjp vit désormais, lorsqu’il n’est pas en mer !

sur ces images ?

 "J’ai eu autrefois des vrais appareils photos avec des objectifs. J’ai connu et connais de nombreux photographes de métier. Beaucoup sont férus de réglages et de performances techniques, de cadrage et de contrôle de la lumière au moment de la prise de vue. Je ne le suis pas. Je préfère glaner et récupérer ce qui traine sous l’œil et à l’œil, gratuitement, sans effort, en évitant néanmoins ce qui tombe trop vite sous le sens, ce qui est identifiable, trop précis, trop bavard…"

Ma mante menthe m'hante....jpg
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